L’agence de presse IRNA, porte-parole officiel du régime iranien, a rapporté que « des membres d'un culte chrétien dissimulé qui en faisaient la promotion et qui essayaient de perturber le marché et l'ordre économique ont été arrêtés. »
Le Dr Mohammad Maleki, éminent militant des droits de l'homme et premier président de l'Université de Téhéran après la révolution de 1979 en Iran, a adressé un message militant à la jeunesse iranienne à l’occasion de la Journée des étudints en Iran. Voici le texte de son message :
Alors que le discours d'Ali Motahari, vice-président du Parlement du régime des mollahs, a été annulé à Mashhad - dans le nord-est de l'Iran, un nouveau développement s’est fait connaître dans le conflit interne du régime, et les deux rivaux, notamment Khamenei et Rafsanjani ont sérieusement été en conflit. Le discours d'Ali Motahari qui devait avoir lieu le dimanche 20 novembre a été annulé par le bureau du Procureur à Mashhad.
L’Associated Press a rapporté dans une dépêche le 26 mars : « Un tribunal allemand a ordonné à l’hebdomadaire Der Spiegel de retirer des passages d’un article qui affirmait qu’un groupe d’opposition iranien en exile (OMPI) était impliqué dans des actes de « torture » et de « terreur psychologique ».
L’eurodéputé Gérard Deprez, Président du groupe interparlementaire des « Amis d’un Iran libre » au Parlement européen, a publié le communiqué de presse suivant concernant les activités de désinformation d’Ana Gomes et de Patricia Lalonde au Parlement européen au profit du régime iranien :
Delphine O, députée de Paris, préside le groupe d’amitié France-Iran à l’Assemblée nationale. Les activités de ce dernier se déclinent en trois axes : « le soutien à la relation politique franco iranienne ; le renforcement des échanges universitaires et scientifiques entre la France et l’Iran ; faire connaître l’Iran en France. » Comme il est difficile d’afficher sa sympathie pour un régime aussi problématique que celui du Guide suprême Ali Khamenei, Delphine O ne ménage pas son engagement pour « blanchir » son image détestable due à sa nature théocratique islamiste et aux graves violations qui y sont portées aux droits de l’Homme, comme le signalent très souvent l’ONU et de grandes ONG.
Iran Focus: Cela fait plusieurs années que le régime iraniens a recours à des lobbies pour faire dissimuler la réalité de l’Iran et tenter de propager la désinformation en occident et particulièrement aux Etats-Unis. L’un des principaux leviers de ce stratagème iranien, le NIAC et son président Trita Parsi, vient d’être pris au piège en portant plainte contre un dissident iranien qui avait dénoncé ses liens avec les autorités iraniennes. L’arroseur s’est fait arrosé puisque la justice a rejeté la plainte en établissant la mauvaise foi de cet organisme aux services des ayatollahs.
Par Jubin Katiraie
Tandis que la tension entre Téhéran et Washington continue d’augmenter, le Département d’État américain, dans le cadre de sa «campagne de pression maximale», a sanctionné plusieurs groupes et entités soutenus par le régime iranien.
Par Jubin Katiraie
Seize ans après l’invasion de l’Irak, les États-Unis semblent enfin comprendre les objectifs troublants du régime iranien dans l’Etat voisin. Alors que Donald Trump s'est retiré du désastreux accord nucléaire de 2015, il est peut-être temps que l'UE prenne le même chemin. Après la capture du pétrolier iranien "Grace-1" par le Gibraltar pour violation des sanctions imposées par l'UE à la Syrie, l'Iran a saisi un pétrolier battant pavillon britannique, le "Stena Impero". Téhéran détient toujours le "Stena Impero".
Les Etats-Unis ont décidé d'imposer des sanctions au chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif, accentuant encore leur campagne de "pression maximale" sur le régime iranien qu'ils accusent de déstabiliser le Moyen-Orient.
Avec AFP - Un navire iranien soupçonné de livrer du pétrole à la Syrie, en violation des sanctions contre Damas, a été arraisonné jeudi au large du territoire britannique de Gibraltar, entraînant la convocation de l'ambassadeur britannique à Téhéran.
WASHINGTON, 7 juin (Reuters) - Les Etats-Unis ont imposé vendredi de nouvelles sanctions contre l'Iran, visant spécifiquement son secteur pétrochimique, annonce le département américain du Trésor.
L’Iran souffre de plus en plus des suites des sanctions imposées au pays par les Etats-Unis, après que ces derniers se sont retirés de l’accord sur le programme nucléaire iranien entre l’Iran et les pays dits 5+1 en 2015.
Alors que Téhéran tente de faire face aux lourdes sanctions internationales et aux troubles croissants dans le pays, un rapport sur des importations potentielles de pétrole iranien par l’Inde révèle que ce pays a mis au point un mécanisme pour contourner les sanctions afin de poursuivre ses affaires avec l’Iran en utilisant des raffineurs publics.
Alors qu’il ne reste plus que six semaines avant que la deuxième série de sanctions américaines contre le régime iranien, l'économie du pays est déjà en chute libre et les experts en économie estiment que la chute du régime est proche.
AFP: Le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy a estimé vendredi que la main tendue du président américain Barack Obama à l'Iran était "une bonne nouvelle", traduisant un "réengagement américain dans le dossier iranien".